Je prends une profonde respiration.
Je ne sais pas d'où émane cette vague de désespoir, mais maintenant que
j'en suis consciente, c'est impossible de l'ignorer, comme une chose
vivant au fond de moi qui se réveille d'un long sommeil. Ça me tord l'estomac et la gorge. Je dois partir. J'ai besoin de la vérité.
Sérieusement comment je doit attendre le 4 avril ??? :'(
RépondreSupprimer